« Avec un titre qui boxe deux fois, on imagine l’uppercut. Le spectacle de Mourad Merzouki […] se place à la fois sur le terrain du combat et sur celui de la force plastique de la boxe. Sans céder à la violence saignante de ce sport, le chorégraphe hip-hop en offre une vision onirique soufflée par les partitions musicales exécutées live par le Quatuor à cordes Debussy. Dans un décor en fer forgé, le décalage entre les mélodies de Schubert et les codes du combat fait planer Boxe Boxe, entre déclaration d’amour et nostalgie. Le tout avec humour. »
Rosita Boisseau, Télérama, 5 novembre 2010