Dans une scénographie minimaliste, la poésie des corps et des mots se fait plus intense. Les formes et les sons embarquent le spectateur dans un voyage au cœur des mémoires. Sur scène, les danseurs naviguent entre l’espace périphérique, symbole de la mémoire latente et l’espace central, lieu de résurgence du passé. Sébastien Ly propose d’aborder le souvenir comme re-connexion dynamique, les mouvements et les sensations permettant de réactiver la perception d’événements passés.
Première
octobre 2017, Festival Question de danse, KLAP – Maison pour la danse, Marseille (13)